Vous avez demandé la Police ? ne quittez pas...

Filou a écrit:

Je sais qu'à ton bureau tu as un arsenal composé d'élastiques et de stylos lance boulette !!!

Damned, je suis fait comme un rat !
Pitié, ne me balances pas, t'auras droit à double ration de binouze à notre prochain concert ...

tentative de corruption de bon français ... tu aggraves ton cas deige!

mamz a écrit:

tentative de corruption de bon français ... tu aggraves ton cas deige!

Chuis pris dans l'engrenage, impossible d'en sortir ...
Pourvu qu'on m'oublie, zut alors ...

MOUAHA !!! énorme !!

trop drole et malheureusement sa m etonne pas de notre belle police

herve

La scène se passe à Ozark, une petite ville de l'Arkansas (Etats-Unis).

Cette petite fille de 10 ans ne voulait pas se laver.

Mais pas se laver du tout.

Elle a même piqué sa crise.

Alors sa maman a alerté la police... ( )

Quand le policier est arrivé au domicile, il a trouvé la fillette recroquevillée sur le sol.

L'enfant hurlait.

Elle « criait, donnait des coups de pieds et résistait » alors que sa mère essayait de la traîner dans la baignoire avant de la mettre au lit, confie le policier.

Rien que de très banal, non?

Et selon le policier « sa mère m'a dit d'utiliser mon Taser si j'en avais besoin »...

Et alors?

Le policier a donc utilisé son taser:

« Juste une brève piqûre dans le dos pendant une seconde », selon le policier...

La fillette n'a pas été blessée, précise 20Minutes.

Mais Vernon McDaniel, le maire de la ville a demandé une enquête.

Une enquête que la police de l'Etat... a refusée.

Et aucune mesure disciplinaire n'a été prise contre le policier.

Car selon Jim Noggle, le chef de la police, « le Taser n'a pas été utilisé pour punir l'enfant mais pour la maîtriser et qu'elle ne blesse personne, y compris elle-même ».

De son côté le père de la fillette qui vit séparé de la mère s'est indigné de l'acte du policier:

«Mais elle n'avait pas d'arme. Elle n'aurait pas dû être tasée ».


j'aurai également pu mettre ça dans "i love america"

Oui quand les deux rubriques se rejoignent là on touche le fond !!!

C'est de la SF Parce que là, j'hallucine

Mohamed Boukrourou, 41 ans, est décédé, jeudi, dans un fourgon de police, à Valentigney, dans le Doubs, selon L'Alsace.

Ce jour-là, le quadragénaire s'était rendu chez son pharmacien pour protester contre la qualité des médicaments qui lui avaient été vendus quelques jours auparavant.

Devant l'extrême énervement de son client, le pharmacien avait appelé la police.

Mohamed avait alors attendu la police, "assis sur une chaise" selon plusieurs témoins, raconte L'Est républicain.

Les policiers, une fois à la pharmacie avaient tenté de le raisonner.

Puis selon le parquet de Montbéliard, ils avaient "sorti physiquement l'homme de la pharmacie" et l'avaient "traîné dans le fourgon", raconte L'Alsace.

Le parquet précisant que les policiers qui "avaient énormément de mal à le maîtriser en raison de son excitation", avaient appelé les pompiers.

Les pompiers ont effectué un premier bilan médical qui s'est avéré positif, mais à 18H05 ils ont constaté l'arrêt cardiaque du quadragénaire, rappelle L'Alsace.

Selon le rapport d'autopsie, l'homme souffrait d'une "altération cardiaque préexistante" et d'un important stress.

Des "zones d'ombre"?

Abdelkader, l'un des frères de la victime a précisé que sa famille allait faire appel à un avocat afin de se porter partie civile, notamment en raison de "zones d'ombre" dans cette mort, selon L'Alsace.

Selon Abdelkader, son frère a pu se rebeller quand les policiers lui ont passé les menottes. Mais, poursuit le frère de la victime, une détresse respiratoire a pu être provoqué quand il a été maîtrisé par les agents.

Par ailleurs, Abdelkader affirme que lors de la toilette mortuaire, la famille aurait constaté que Mohamed avait la lèvre éclatée et des bleus sur le visage, raconte L'Est républicain.

Ce dimanche, plusieurs centaines de personnes ont participé à une marche silencieuse en hommage à Mohamed, du quartier des Buis où réside la famille à la pharmacie où un proche a lu la prière des morts.

La police judiciaire a été chargée d'une enquête pour "recherche des causes de la mort".

Des parlementaires de gauche et les avocats de neuf suspects ont accusé mercredi la police d'avoir fabriqué des preuves dans l'enquête sur des sabotages de lignes de TGV il y a un an, l'affaire dite "de Tarnac".

Lors d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale, ils ont notamment mis en cause un témoignage "sous X" à charge, qu'ils soupçonnent d'avoir été fabriqué.

"Le gouvernement n'échappera pas à une demande de commission d'enquête parlementaire de la gauche sur ce dossier, qui ressemble de plus en plus à une affaire d'Etat", a résumé le député socialiste André Vallini.

Noël Mamère, député des Verts, a interpellé le gouvernement, tout comme l'ancien premier secrétaire du PS François Hollande, qui a invité la ministre de la Justice et ancienne ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie à "dire tout ce qu'elle sait".

Dans la soirée, le député PS Jean-Christophe Cambadélis s'est interrogé dans un communiqué sur l'éventuelle démission de Michèle Alliot-Marie. "Peut-elle trancher contre les enquêteurs, ce qui la mettrait en cause ? Peut-elle dans ces conditions rester ?", se demande-t-il.

Neuf personnes arrêtées en novembre 2008 pour la plupart à Tarnac (Corrèze) sont en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" pour des sabotages commis par le placement de fers à béton sur des caténaires dans la nuit du 7 au 8 novembre 2008, ainsi que le 26 octobre 2008.

Ils sont membres d'un supposé groupe d'ultra-gauche. Leur défense se fonde sur le fait qu'un agriculteur interrogé le 14 novembre 2008 "sous X", comme le permet la procédure, et qui disait le groupe de Tarnac violent et capable de tuer, s'est rétracté dans plusieurs médias.

Il a expliqué que les policiers lui avaient fait signer sous la pression des fausses déclarations. De plus, la défense estime que le procès-verbal pourrait avoir été antidaté. Elle demande une nouvelle audition de cet homme en présence de la défense.

"ILS ONT INVENTÉ"

"On est au-delà de la déloyauté, on est dans le soupçon de la falsification, de la fabrication de preuves", a dit Me William Bourdon, un des avocats.

Un autre grief de la défense concerne le procès-verbal de filature établi par la police le soir des sabotages et qui semble démontrer la présence près d'une ligne du TGV sabotée, en rase campagne et en pleine nuit, de Julien Coupat, supposé chef du groupe, et de son amie Yldune Lévy.

Me Jérémy Assous a relevé une incohérence dans le "timing" mentionné par les policiers, qui rend impossible un des déplacements relatés. Il estime que les policiers n'ont pas réalisé cette filature. "Ils n'y étaient pas et ils ont inventé", a-t-il dit lors de la conférence de presse.

La police suit toujours la piste du groupe de Tarnac, comme le montre l'arrestation mardi dans le village d'un nouveau suspect, compagnon d'une des femmes mises en examen. Il est soupçonné d'être impliqué dans la confection de faux documents d'identité retrouvés lors des perquisitions de 2008.

Les déclarations initiales de Julien Coupat et Yldune Lévy devant les enquêteurs restent le fondement principal du dossier. Ils ont expliqué leur présence nocturne sur les lieux par le fait qu'ils avaient eu un rapport sexuel dans leur voiture.

Me Assous souligne toutefois que cette déposition ne concerne qu'un stationnement sur la commune, en Seine-et-Marne, de Trilport, et non Dhuisy, lieu où le sabotage a été commis, située à 27 km. Le couple nie s'y être rendu ensuite. Les policiers affirment le contraire.

Thierry Lévêque, édité par Sophie Louet

Deux policiers, filmés en flagrant délit de vol dans un magasin de téléphonie, vendredi soir à Paris (Xe arrondissement), ont été mis en examen lundi soir pour vol aggravé en réunion, a-t-on appris de source judiciaire.
Les images d'une caméra de vidéosurveillance mises en ligne sur le site internet d'Europe 1 montrent deux hommes entrant dans une boutique de téléphonie de la rue Louis-Blanc, exhibant un brassard de police et leur carte professionnelle.
La tête revêtue d'un bonnet, ils passent ensuite derrière le comptoir, procèdent à un contrôle d'identité puis se servent en cartes téléphoniques avant de quitter le magasin.
Selon une source proche de l'enquête, ils sont entrés dans le magasin en prétextant une perquisition. Ils sont également soupçonnés d'avoir dérobé de l'argent, selon la source judiciaire.
A l'issue de leur garde à vue chez les policiers de l'Inspection générale des services (IGS), ils ont été présentés à un juge d'instruction qui les a mis en examen pour vol en réunion par personne dépositaire de l'ordre public.
Le parquet, qui avait requis leur placement en détention provisoire, n'a pas été suivi par le juge des libertés et de la détention (JLD) qui les a placés sous contrôle judiciaire.Ce contrôle comprend l'interdiction d'exercer leur profession, de porter une arme et d'entrer en contact entre eux, selon la source judiciaire.
Sur le plan administratif, les deux policiers devraient également faire l'objet de sanctions, selon la source proche de l'enquête.

Le pékin de base, il aurait pas été au trou illico d'après vous

Il y a pas mal de délits qui devraient être punis d'une peine de prison à vie dès lors que c'est commis par des policiers (en service ou pas)... mais au contraire ils échappent à la loi !!

ACCIDENT
Le policier qui a tué une femme a été placé en garde à vue

La femme policier qui conduisait le car ayant percuté une femme de 51 ans affirme que les freins ont lâché.
Des témoins indiquent quant à eux que le véhicule a brûlé un feu rouge.

La femme a été percutée par un car de police sur un passage protégé (Reuters)

La femme a été percutée par un car de police sur un passage protégé (Reuters)
La femme policier qui conduisait le car de police ayant renversé et tué une femme de 51 ans jeudi 10 décembre dans la matinée à Paris (IVe) a été placée en garde à vue, a-t-on appris de sources judiciaire et policière.
"C'est le déroulement et le cadre normal de l'enquête", a précisé la source policière. D'après les premiers éléments de l'enquête, le car quittait le service des urgence médicales judiciaires (UMJ) de l'hôpital de l'Hôtel-Dieu vers 8h30, juste devant la préfecture de police, lorsqu'il a renversé cette femme qui se trouvait sur un passage protégé et traversait la chaussée alors qu'un feu était au rouge.
La victime est morte des suites de ses blessures vers 9h en dépit des soins aussitôt prodigués, selon la source.
Selon plusieurs témoins, interrogés par la police sur les lieux de l'accident, le car aurait "brûlé" ce feu, le chauffeur ayant indiqué pour sa part que "les freins (du véhicule de police) n'ont pas répondu", a ajouté la préfecture de police.

Saisie du véhicule

"Notre collègue chauffeur", une femme policier, "a dit trois fois (dans le car) que les freins ne répondaient pas", a déclaré pour sa part Thierry Mazé, du syndicat de police Alliance, à l'AFP. "Selon les premiers éléments en notre possession, a-t-il précisé, elle a vraiment voulu marquer l'arrêt au feu rouge et n'a pu le faire en raison de ce qui ressemble bien à une défaillance du véhicule", a-t-il ajouté.
Le service central des accidents (SCA) de la PP et l'Inspection générale des services (IGS - "police des polices"') ont été saisis de l'enquête.
Pour les besoins de celle-ci, selon la PP, le car de police "a été saisi" afin d'être examiné et déterminer notamment s'il y a eu, ou non, une défaillance.

Le gouvernement "décomplexe les forces de police"

Ian Brossat, président du groupe communiste au Conseil de Paris, a demandé que "toute la lumière soit faite" sur ce drame, dénonçant une tendance du gouvernement "à décomplexer les forces de police".
"Trop c'est trop ! Il faudra que toute la lumière soit faite sur cet événement extrêmement grave. Les règles de sécurité routière s'appliquent à tous, a fortiori à ceux qui sont chargés de les faire respecter", a-t-il déclaré dans un communiqué.
Nicolas Comte, secrétaire général de l'Union SGP/Unité police, dans un communiqué, s'est déclaré "scandalisé" par ces propos. "Il est purement inadmissible que l'on puisse jeter l'opprobre sur l'ensemble de la profession" et "l'enquête est en cours", a-t-il dit. "Il est inadmissible d'utiliser un tel drame à des fins politiques".


(Nouvelobs.com avec AFP)

Evidemment, les syndicats "non politisés" de flics défouraillent tout de suite ... alors que "l'enquête est en cours" ... mais là, pas d'problème de conscience n'est-ce pas

camion de pochtrons...

bien vu !

EXCELLENT !!!

CANARD ENCHAINé du 23/12/2009

Rappelons que les mêmes peuvent vous envoyer en cabane pour le restant de vos jours sur leur simple parole... surtout à partir de 2010, quand le gouvernement aura fini d'instaurer l'état policier en supprimant les juges d'instruction.

Vous en avez marre de toutes ces racailles ? Hè bien ne comptez pas su le gouvernement pour vous en débarrasser !!!


TRAFIC
Des CRS sont soupçonnés de détournement de whisky
NOUVELOBS.COM | 07.01.2010 | 11:21

Il leur serait reproché d'avoir revendu "ou trafiqué à bas prix entre compagnies de CRS" des centaines de bouteilles de whisky qui provenaient de la cargaison d'un poids-lourd.


Une quinzaine de CRS ont été interpellés, mercredi 6 janvier, sur des soupçons de détournements, voire de trafic, de bouteilles de whisky provenant de la cargaison d'un camion, a-t-on appris de sources proches de l'enquête.
Ces CRS, des régions de Saint-Etienne et Lyon, ont été soit entendus soit placés en garde à vue. En revanche, leur nombre exact n'a pas été révélé.

Des CRS qui se seraient "servis"
D'après les premiers éléments de l'enquête menée par l'Inspection générale de la police nationale (IGPN, la "police des polices"), il leur serait reproché d'avoir revendu "ou trafiqué à bas prix entre compagnies de CRS" des centaines de bouteilles de whisky qui provenaient de la cargaison d'un poids-lourd.
Plusieurs scénarios possibles sont évoqués : le camion en question aurait été soit contrôlé par des CRS, soit se serait renversé lors d'un accident, ce qui aurait provoqué l'intervention des policiers.
Les suspects sont présumés "s'être servis" dans cette cargaison, certains d'entre eux étant issus de la compagnie autoroutière de Saint-Etienne.

(Nouvelobs.com)

Bah quoi, si on a plus l'droit de boire un coup de temps en temps, merde alors

ben pourquoi il ne m'ont pas appelé pour m'en vendre ? j'espère qu'il vont prendre chère ces enfoirés

Citation :

Trois jeunes, qui circulaient sur le même scooter et étaient poursuivis par la police municipale de Woippy (Moselle), ont été victimes d'un accident qui a fait un mort et deux blessés graves.

Actualités NouvelObs < Société


BRAQUAGE
117 coffres de banque fracturés à Montreuil

Pas moins de 117 coffres de la Caisse d'Epargne de Montreuil (Seine-Saint-Denis) ont été fracturés, a-t-on appris vendredi 22 Janvier selon une policière. Le fric-frac a été découvert le 4 janvier lors de la réouverture de l'agence qui était fermée pour travaux depuis le 10 décembre.
Les cambrioleurs ont réussi à s'introduire dans les locaux et ont ensuite accédé à la salle des coffres en perçant un trou dans le plancher. "C'est du beau boulot", a-t-on reconnu de même source.
L'alarme s'est pourtant déclarée à deux reprises les 31 décembre et 1er janvier.
Mais les policiers envoyés sur place et qui étaient restés à l'extérieur de l'agence n'avaient rien constaté d'anormal.
Les clients de la banque ont été avertis de cette effraction par courrier et invités à déclarer le montant de leur préjudice.
Les coffres contenaient des bijoux et de l'argent. Il y a un gros travail de recensement à effectuer", indique-t-on de source policière.
La Brigade de répression du banditisme (BRB) est chargée de l'enquête.

(Nouvelobs.com avec AP)


Ils feraient mieux d'enquêter sur l'incompétence de leurs collègues !!! remarque qu'une brigade de flics un 1er janvier au matin... ça doit pas être plus futé qu'un 14 juillet, juste un peu plus bourré...